mercredi 25 août 2010

jeudi 19 août 2010

DIEU... c’est pas un boulot facile

Doyle était-il un auteur sûr de lui, convaincu d’être aussi génial que son détective ? Sûrement pas. Il avait inventé Sherlock Holmes en s’inspirant d’un de ses professeurs de faculté. Il haïssait son personnage qui n’était pour lui, qu’un moyen de gagner le l’argent pour se consacrer à des travaux d’écriture plus nobles.

Stoker était-il un être mystérieux ? Un taiseux, obsédé par les spectres et autres fantômes ? Rien n’est moins sûr. Quand on est journaliste et que l’on dirige l’équipe d’un des théâtres les plus importants du monde, c’est peu probable.

Lasker était-il un hédoniste, sensible aux charmes féminins ? Définitivement non. Les plus grands joueurs d’échecs sont connus pour être des monomaniaques n’ayant que peu d’intérêt pour le sexe faible.

Freud était-il un philanthrope humaniste ? Par certains côté peut-être. Mais il a passé sa jeunesse le nez dans ses livres, vivant de la dot de sa femme et des cadeaux de mariage à ces débuts. Et il y a peu de chances que les suffragettes goûtent ses idées sur la psyché féminine (les femmes ne seraient que des frustrées ; des êtres incomplets qui ne cherchent qu’à compenser leur manque de pénis).

Quant à Jack l’Eventreur, qui était-il ? Mystère… Mais probablement pas un médecin fou proche de la couronne ou un esthète génial type Hannibal Lecter. Ce serait plutôt un monsieur tout le monde, un artisan totalement pervers vivant à WitheChapel et n’ayant rien de romantique. Comme 95% des Serials Killer.

Mais finalement quelle importance ?

C’est moi qui décide.



mercredi 11 août 2010

Dark Vador, John Locke et Tintin. Même combat.

L’album se termine bien évidemment par un cliff-hanger (expression qui n’a qu’un rapport lointain avec le médiocre film du même nom) et qui équivaut à une accroche, en français. Cette notion renvoie à un nœud dramatique non résolu qui doit susciter chez le lecteur, l’envie de connaître la suite.

La bande dessinée en est truffée. Que ce soit au milieu des albums (Tintin) ou à la fin (Blueberry), tout comme dans les films de cinéma. De temps à autre, avec bonheur (L’empire contre-attaque "I’am your father") mais le plus souvent avec un systématisme invraisemblable, tellement prévisible qu’il en devient comique (Freddy, et autre Vendredi 13). Surtout quand les suites ne sont pas tournées parce que le premier film a été un échec commercial justifié (Godzilla). Actuellement, on croise le plus souvent les cliff-hanger dans les séries télé de qualité, surtout en fin de saison (Six Feet Under, Desperate, True Blood et… non, en réalité, dans toutes les séries). Le cliff-hanger doit donc être béton, tout en restant résoluble afin ne pas décevoir le lecteur qui quand il connaitra la suite pourrait dire " Tout ça pour ça "

Mais ça, comme dirait Kipling, c’est une autre histoire.

jeudi 5 août 2010

Update (avant Blackout)

Le découpage est à présent terminé !
Rendez-vous en Septembre.

James


mercredi 4 août 2010

Blackout

Mon déménagement approche à grands-pas.
Le découpage aussi. Je vais prendre un peu d'avance en mettant les deux dernières pages en ligne ce week end.
Après cela, je vais rentrer dans une zone de blackout, enfin, sur le plan graphique uniquement :)

Je vous donne rendez-vous en septembre pour le début de la mise au propre

D'ici là, bonnes vacances et bonne lecture

A bientôt

James