jeudi 8 avril 2010

“Profiler“ du XIX siècle

Toujours dans l’idée de mélanger fiction et réalité, Arthur fait la connaissance de Jean-Martin Charcot, médecin et professeur qui contribua plus que sérieusement, au développement des pathologies nerveuses, en particulier sur l’hystérie et l’hypnose. En clair, il fit partie des ancêtres de ce que l’on appellera plus tard la psychanalyse.

On le voit, Arthur a compris qu’il valait chercher les raisons de la sauvagerie des meurtres du côté de la psychiatrie. Ce qui nous parait évident aujourd'hui était à mettre du côté des croyances sur la barbarie supposée de “l'étranger“ à l’époque. En bref, Arthur a saisi qu’il fallait s’attacher les services pour employer une expression à la mode, d’un “Profiler.

NB : On remarquera (petite coquetterie d’auteurs) que la case du haut de la page 10 est un hommage à la toile d’André Brouillet La leçon Clinique.